dimanche 20 juin 2010

La pêche au thon rouge

Acrylique sur toile, 24x30.
Ceux là n'auront pas d'ennuis avec Greenpeace : ils pêchent de manière tout à fait traditionnelle et sans piller les réserves de poissons sauvages.
La côte à l'arrière plan est assez caractéristique du littoral languedocien: plusieurs lignes de collines de taille croissante. Au départ, ce fond était censé être un tableau à part entière, mais il ne m'a jamais totalement plu: je l'avais vaguement caché derrière une plante et je l'ai oublié là quelques mois.
Et puis samedi matin, je l'ai repris et j'ai commencé à crayonner des barques, des pêcheurs, des thons... ça a fini par donner ce petit tableau sympa, vaguement naïf, vaguement BD, une façon de peindre qui me plait bien et qui me change de mes aborigènes. D'ailleurs, je n'ai pas peint un seul tableau en dot painting depuis le mois d'avril. Une page est tournée, peut être...

vendredi 11 juin 2010

Farniente

Acrylique sur toile, 33x41.
La plage (en été ? pas sûr)...
Je ne sais pas exactement où c'est, ni même quand. Peu importe, c'est un moment de tranquillité en fin de journée au bord de la mer.
Certainement pas par ici au mois de juillet ni d'aout : pas assez de monde, de mômes qui braillent, de gens qui crient, de balles qui atterrissent n'importe où... non, c'est trop calme pour être ici l'été!
L'arrière plan a un petit quelque chose d'espagnol (en septembre-octobre, alors). Ou bien c'est peut être en Italie, ce qui expliquerait le titre. Elle n'ont pas l'air de s'en soucier beaucoup, de savoir où c'est.

mardi 8 juin 2010

le général et madame

Acrylique sur toile, 24x30.
Un petit amusement inspiré de plusieurs choses : les portraits des "bonnes familles du début du 20ème siècle, les "souweres" d'Afrique de l'ouest, et aussi une série de tableaux que j'ai aperçus à Perpignan, d'un certain Pierre Navarro, dont je n'ai trouvé aucune trace sur le net. Si quelqu'un connait, merci de me faire savoir où je peux en voir d'autres.
Je ne sais pas si le bonhomme est un général, mais je me dis qu'il a suffisamment de médailles pour qu'on l'appelle comme ça.